Mais quand elle aimait, des flots de luxure
débordaient, ainsi que d’une blessure
sort un sang vermeil qui fume et qui bout,
de ce corps cruel que son crime absout;
le torrent rompait les digues de l’âme,
noyait la pensée, et bouleversait
tout sur son passage, et rebondissait
souple et dévorant comme de la flamme,
et puis se glaçait
Extrait de Marco, Poèmes Saturniens, Paul Verlaine
C’est puissant, tout comme toi !
Je ne suis pas étonné, avec toi Marine, tout est à l’intérieur…
J’ai beaucoup aimé sincèrement.
Bon WE
Tony
J’aimeAimé par 1 personne
et bien… ce poème manquait à Arbrealettres.. merci de la découverte 🙂
J’aimeAimé par 1 personne
merci pour ce 32 997 ème 😉
J’aimeAimé par 1 personne
si ça vous dit …
Index ci-dessous
Ch Passeur de Mots
🙂
Blog de Poésie: http://arbrealettres.wordpress.com
Index: http://pagesperso-orange.fr/coolcookie/poesie/index.html
Blog de Photos: http://arbreaphotos.wordpress.com/
Blog de Musiques: http://arbreamusiques.wordpress.com/
J’aimeAimé par 1 personne